Cette année, c’est la 4ème édition de « Pas sage en seine » et c’est toujours le même esprit qui peut être synthétisé de la façon suivante :
Pas Sage en Seine CoHacking Space : des gens pas sages du tout rendent visibles, intelligibles et pédagogiques les activités numériques undergrounds ou tout simplement libres.
Et cette année, ils font péter les frontières… Ils ont décidé de mettre à l’honneur la Tunisie et pendant ces 4 jours (du 14 au 17 juin 2012), il y aura des liaisons en duplex entre « Paris » et « Tunis » !
Alors, où est ce que ça se passe ? C’est au Passage des Panoramas, dans le 2e arrondissement, (un petit plan vite fait bien fait, pour le fun), métro : Bourse ou Grands Boulevards.
Pour avoir un peu plus de détails sur le « spot », il y a un autre plan sur le site du pas sage en seine…
Alors, rentrons dans le vif du sujet…ce pas sage en seine 2012 :
C’est pour qui ?
- A la fois les hackers, développeurs et curieux. Les passants et les pas sages…
Pourquoi un cohacking space ?
- Pour rendre visibles, intelligibles et pédagogiques les activités souterraines.
- Pour comprendre, apprendre, partager
- Pour tester, modifier, changer, réutiliser
On y parle de quoi ?
- de hack hardware et software,
- de contenu libre,
- de copie, de P2P,
- de créativité, d’art libre,
- de sauver Internet, d’hacktivisme,
- … de free culture.
Et cette année, 2 nouvelles disciplines : hackfood et hackfashion (plaisir du palais et des yeux).
Pour le reste et afin d’éviter tout problème d’incompréhension, comme les deux années précédentes, je vais donner la définition de ce que j’entends, moi, quand je parle de « hack » :
« Le hack tel que je le conçois, c’est la bidouille, le détournement d’utilisation d’un objet technologique afin de rajouter des fonctionnalités ou des possibilités pour l’utilisateur final (il n’y a aucune connotation légaliste dans cette mention, qu’on ne me brise pas les machins avec des remarques du style : « oué lè hacker cai le mal » parce que ça sera considéré comme hors sujet, purement et simplement) ! »
Une conclusion pour terminer cet article ?
Alors je ferais simple et rapide, je dirais la même chose que les organisateurs : « Venez, voyez et comprenez, ou pas. »